Se nourrir en conscience – partie 2

L’amélioration du corps éthérique peut débuter seulement lorsque le corps physique est apaisé, donc pour nourrir nos corps subtils nous devons manger dans un état de paix et d’harmonie. Sans faire de bruit avec les ustensiles et les couverts. Être attentif nous permet d’entrer dans un état d’expansion de conscience et de réaliser à quel point tout est inter-relié.
Plus nous mangeons les aliments entiers, sans avoir subi de transformation, plus nous avons la possibilité de penser à la vertu liée à la couleur de l’aliment que nous sommes sur le point de goûter. Plus nous portons une attention spéciale à la qualité liée à la couleur des aliments, plus nous ferons un lien avec la qualité, la vertu des aliments et l’extraordinaire voyage que cette nourriture a emprunté pour se rendre jusque dans notre assiette.

De la semence à la récolte, nous devons penser à tous ceux qui sont intervenus afin de créer ce qui se trouve dans notre assiette, pas seulement la cuisinière, mais toute la chaîne d’événements qui ont contribué à la création de ce miracle.
Quoi que nous mangions a été d’abord ensemencé et nourri par les cinq éléments et la hiérarchie angélique. Les élémentaux ont reçu l’ordre des anges de prendre soin des cinq éléments et ont inspiré l’humain à jardiner. Au début, c’est le besoin de s’alimenter qui a poussé l’être humain à jardiner. Par la suite, la gourmandise a motivé les humains à multiplier les saveurs.
(extrait du livre « Développer son corps de lumière » de Renée SÉVIGNY)